ET ELLES CROYAIENT EN JEAN-LUC GODARD
de Chantal Pelletier, Editions Joelle Losfeld
REVUE DE PRESSE
de Chantal Pelletier, Editions Joelle Losfeld
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Emission hommage à Jean-Luc Godard sur France Inter le 14 septembre 2022. Chantal à 17mn07
Totémic Rebecca Manzoni Septembre 2015
... intime et générationnel, un beau roman de l'amitié et de la solitude, du deuil et de la joie.
Monde des livres Raphaëlle Leyris Février 2015
Chantal Pelletier a une façon unique d'aciduler ses phrases, de les faire palpiter. Ses mots s'échappent comme Bébel au coin de la rue, dansent comme Bardot, pleurent comme Anna Karina. Ils disent que le temps est trop court et la nostalgie pas morte... un livre comme celui-ci vous dope le moral, vous fait pleurer à grands coups de mascara sur les joues...
Télérama Christine Ferniot
J'ai adoré. Chantal Pelletier raconte très bien comment les livres, les films, ça vous ouvre le monde, ça vous l'agrandit... une très belle histoire amitié... ces trois "plus que soeurs" ne veulent pas le prince charmant, elles veulent être elles-mêmes les "princesses charmantes" ... C'est un livre qui raconte une génération avant la nôtre de femmes qui nous ont ouvert des portes et ouvert les yeux... j'ai eu l'impression que C.P me tendait la main, et que grâce à elle, je voyais le monde pas tout à fait de la même manière... et c'est un livre tout à fait grisant.
FR2 Télématin Olivia de Lamberterie
Vif, drôle, émouvant. Et concis... Le rêve se coule dans le réel, le temps qui passe desserre son emprise au rythme des mots, des phrases, des aveux et des rages que Chantal Pelletier emprunte à Godard. Ce n'est pas "Adieu au langage", c'est "Bonjour, folle jeunesse". Remarquable.
Sud Ouest Gérard Guégan Février 2015
Les phrases fusent, la gouaille en embuscade, les costards sont taillés au millimètre, interdiction est faite de s'épancher même quand la mort frappe. Vivre a toujours été une urgence. Un beau récit sur l'amitié féminine, inspiré et tonique...
Figaro littéraire Françoise Dargent
La liberté est contagieuse, et il y a un vent d'une liberté incendiaire qui souffle dans chaque page de ce livre... un livre fort, rempli de fous-rires et de larmes, qui, comme disait Godard, "va à la lumière et la dirige sur notre nuit..."
Radio de la Communauté Juive Postface Caroline Gutman
Allonzy, allonzo, la vie lui a donné des alliées, des amies, des partenaires, "vivre, c'est jouer". Elles ne seront pas des femmes au foyer ni les esclaves du travail qu'ont été leurs mères, "elles ne seront jamais des dames. Jamais des moitiés"...
Libération Claire Devarrieux Février 2015
La plume de Chantal Pelletier est caressante, pudique, acidulée, s'incrustant avec bonheur dans ce qui nous semblait tant relever, jusqu'à présent, d'une cinéphilie essentiellement masculine. On a rarement mieux écrit, en même temps, sur ce qui nous rend Godard indispensable et sur ce qui fait que ses films s'ancrent à ce point dans notre ADN tout en nous faisant regarder le monde autrement.
TSF Jazz Blog Laurent Sapir
Le dernier roman de Chantal Pelletier parcourt, dans le rire et dans les larmes, quarante-cinq ans de l'itinéraire d'une femme née au milieu du siècle dernier... Dans ce texte où se glissent des "extraits de phrases dites, jouées, lues, écrites, affichées, recopiées, détournées dans des films de Jean-Luc Godard", vivre est une émancipation, la conquête d'une liberté de conscience joyeuse. "Se marrer" est un devoir, une politesse, une morale résistante à tout, aux deuils précoces, aux trous dépressifs. Il y a aussi la vitalité de l'amitié, cette forme particulière de camaraderie féminine. "Brigitte dit que l'amitié multiplie par deux ce que l'amour partage".
Livres hebdo Véronique Rossignol Janvier 2015
"... une prose qui est de la poésie effervescente, à l'incandescence irrésistible. C'est une écriture souple, bandante, aux ondulations savantes, aux fêlures justes. Le don si jalousé de la phrase exacte. Un bonbon acidulé que l'on brûle d'agacer, lentement, du bout de la langue, en implorant "encore, monsieur le bourreau".
BSC News Marc-Emile Baronheid Mars 2015
Un livre passionnant et passionné autour d'un personnage attachant, un parcours qui n'est pas sans similitudes avec celui de l'auteur sans être pour autant une autobiographie. Beaucoup de lecteurs - et de lectrices - se retrouveront dans cette période initiatique des années 60 où une génération découvrait la liberté grâce aux livres, aux films ou au théâtre, grâce aussi aux Maisons des Jeunes et de la Culture où les corps et les âmes pouvaient apprendre à exister, se rencontrer, s'épanouir et s'exprimer dans une multitude d'activités collectives. Le parcours d'une femme mais aussi le roman d'une époque, un livre émouvant dont on sort ragaillardi.
Encres vagabondes Serge Cabrol Avril 2015
Un roman d'amitié et de cinéma, magnifique hommage au cinéma de Jean-Luc Godard. Chantal Pelletier ne se contente pas de citer Godard, elle semble imiter jusqu'à son esthétique, par le choix d'une narration discontinue et fragmentaire. On retrouve également l'esprit du cinéaste qui allie subversion, drame et légèreté, le tout dans un style très poétique. L'auteur ne s'appesantit pas, elle procède par touches, au rythme des films de Godard : tout est effleuré, rapide, mais non superficiel. On atteint ainsi la dernière page, émus et "à bout de souffle".
La petite revue Alexia Kalantzis (critique littéraire et théâtrale)
Puissant et nostalgique, le roman d'une vie !
Biba M.R. Mai 2015
Un roman qui montre très bien le lien étroit entre Godard et son époque, grand sismographe de ce qui se passe...
France CULTURE Projection privée Michel Ciment Mars 2015
Totémic Rebecca Manzoni Septembre 2015
... intime et générationnel, un beau roman de l'amitié et de la solitude, du deuil et de la joie.
Monde des livres Raphaëlle Leyris Février 2015
Chantal Pelletier a une façon unique d'aciduler ses phrases, de les faire palpiter. Ses mots s'échappent comme Bébel au coin de la rue, dansent comme Bardot, pleurent comme Anna Karina. Ils disent que le temps est trop court et la nostalgie pas morte... un livre comme celui-ci vous dope le moral, vous fait pleurer à grands coups de mascara sur les joues...
Télérama Christine Ferniot
J'ai adoré. Chantal Pelletier raconte très bien comment les livres, les films, ça vous ouvre le monde, ça vous l'agrandit... une très belle histoire amitié... ces trois "plus que soeurs" ne veulent pas le prince charmant, elles veulent être elles-mêmes les "princesses charmantes" ... C'est un livre qui raconte une génération avant la nôtre de femmes qui nous ont ouvert des portes et ouvert les yeux... j'ai eu l'impression que C.P me tendait la main, et que grâce à elle, je voyais le monde pas tout à fait de la même manière... et c'est un livre tout à fait grisant.
FR2 Télématin Olivia de Lamberterie
Vif, drôle, émouvant. Et concis... Le rêve se coule dans le réel, le temps qui passe desserre son emprise au rythme des mots, des phrases, des aveux et des rages que Chantal Pelletier emprunte à Godard. Ce n'est pas "Adieu au langage", c'est "Bonjour, folle jeunesse". Remarquable.
Sud Ouest Gérard Guégan Février 2015
Les phrases fusent, la gouaille en embuscade, les costards sont taillés au millimètre, interdiction est faite de s'épancher même quand la mort frappe. Vivre a toujours été une urgence. Un beau récit sur l'amitié féminine, inspiré et tonique...
Figaro littéraire Françoise Dargent
La liberté est contagieuse, et il y a un vent d'une liberté incendiaire qui souffle dans chaque page de ce livre... un livre fort, rempli de fous-rires et de larmes, qui, comme disait Godard, "va à la lumière et la dirige sur notre nuit..."
Radio de la Communauté Juive Postface Caroline Gutman
Allonzy, allonzo, la vie lui a donné des alliées, des amies, des partenaires, "vivre, c'est jouer". Elles ne seront pas des femmes au foyer ni les esclaves du travail qu'ont été leurs mères, "elles ne seront jamais des dames. Jamais des moitiés"...
Libération Claire Devarrieux Février 2015
La plume de Chantal Pelletier est caressante, pudique, acidulée, s'incrustant avec bonheur dans ce qui nous semblait tant relever, jusqu'à présent, d'une cinéphilie essentiellement masculine. On a rarement mieux écrit, en même temps, sur ce qui nous rend Godard indispensable et sur ce qui fait que ses films s'ancrent à ce point dans notre ADN tout en nous faisant regarder le monde autrement.
TSF Jazz Blog Laurent Sapir
Le dernier roman de Chantal Pelletier parcourt, dans le rire et dans les larmes, quarante-cinq ans de l'itinéraire d'une femme née au milieu du siècle dernier... Dans ce texte où se glissent des "extraits de phrases dites, jouées, lues, écrites, affichées, recopiées, détournées dans des films de Jean-Luc Godard", vivre est une émancipation, la conquête d'une liberté de conscience joyeuse. "Se marrer" est un devoir, une politesse, une morale résistante à tout, aux deuils précoces, aux trous dépressifs. Il y a aussi la vitalité de l'amitié, cette forme particulière de camaraderie féminine. "Brigitte dit que l'amitié multiplie par deux ce que l'amour partage".
Livres hebdo Véronique Rossignol Janvier 2015
"... une prose qui est de la poésie effervescente, à l'incandescence irrésistible. C'est une écriture souple, bandante, aux ondulations savantes, aux fêlures justes. Le don si jalousé de la phrase exacte. Un bonbon acidulé que l'on brûle d'agacer, lentement, du bout de la langue, en implorant "encore, monsieur le bourreau".
BSC News Marc-Emile Baronheid Mars 2015
Un livre passionnant et passionné autour d'un personnage attachant, un parcours qui n'est pas sans similitudes avec celui de l'auteur sans être pour autant une autobiographie. Beaucoup de lecteurs - et de lectrices - se retrouveront dans cette période initiatique des années 60 où une génération découvrait la liberté grâce aux livres, aux films ou au théâtre, grâce aussi aux Maisons des Jeunes et de la Culture où les corps et les âmes pouvaient apprendre à exister, se rencontrer, s'épanouir et s'exprimer dans une multitude d'activités collectives. Le parcours d'une femme mais aussi le roman d'une époque, un livre émouvant dont on sort ragaillardi.
Encres vagabondes Serge Cabrol Avril 2015
Un roman d'amitié et de cinéma, magnifique hommage au cinéma de Jean-Luc Godard. Chantal Pelletier ne se contente pas de citer Godard, elle semble imiter jusqu'à son esthétique, par le choix d'une narration discontinue et fragmentaire. On retrouve également l'esprit du cinéaste qui allie subversion, drame et légèreté, le tout dans un style très poétique. L'auteur ne s'appesantit pas, elle procède par touches, au rythme des films de Godard : tout est effleuré, rapide, mais non superficiel. On atteint ainsi la dernière page, émus et "à bout de souffle".
La petite revue Alexia Kalantzis (critique littéraire et théâtrale)
Puissant et nostalgique, le roman d'une vie !
Biba M.R. Mai 2015
Un roman qui montre très bien le lien étroit entre Godard et son époque, grand sismographe de ce qui se passe...
France CULTURE Projection privée Michel Ciment Mars 2015
… un vrai bonheur, ce roman, un vrai coup de cœur… Un chemin de vie qui m’a beaucoup touchée… un parcours dans lequel beaucoup de personnes peuvent se reconnaître… une immense bouffée de vie, une bouffée d’air… Merci ! Peu de gens sont capables d'écrire sur l’amitié comme vous l’avez fait.
Radio Libertaire "Idéaux et débats" Alexandrine Halliez (à 38mn)
... Qu'on ne se méprenne pas, Et elles croyaient en Jean-Luc Godard n'est pas un livre pour cinéphiles mais un véritable roman avec des personnages attachants et des retournements de situation inattendus. Qu'on peut lire aussi, d'ailleurs, comme une sorte d'autobiographie de Chantal Pelletier, qui mêle avec bonheur dans cette histoire d'amitié entre ces trois femmes ses propres expériences... avec celles de tous ceux qui avaient vingt ans dans les années 1960 et ont vécu toutes les transformations de la vie en société et des moeurs jusqu'à aujourd'hui...
La Revue pour l'intelligence du monde Renaud de Rochebrune
La croyance de ces trois jeunes filles en Jean-Luc Godard correspond à une époque importante pour l’émancipation de la femme, pour une libération de la parole, pour des prises de position politiques… Croire ? Vous dites « l’art ouvre les yeux que ferme la religion… »
RFI L'invité culture Catherine Fruchon-Toussaint Avril 2015
Une description émouvante du destin de quasi-septuagénaires engendrés par le baby-boom de l'après-guerre et des emprunts aux dialogues des films de Jean-Luc Godard avec une intelligence véritable qui n'oppose pas les films des années 1960 et ceux des premières années de ce 21ème siècle fut godardienne comme la première fut picassienne...
Art Press Dominique Païni Juillet aout 2015
Un roman hyper générationnel qui plaira surtout aux femmes qui ont grandi dans les années soixante.. Et aux cinéphiles, pas seulement ceux qui aiment Godard !
Le Progrès Françoise Monnet Février 2015
France CULTURE Les bonnes feuilles Sandrine Treiner Mai 2015
France CULTURE Le temps des écrivains Christophe Ono-Dit-Biot Mai 2015
Radio Libertaire "Idéaux et débats" Alexandrine Halliez (à 38mn)
... Qu'on ne se méprenne pas, Et elles croyaient en Jean-Luc Godard n'est pas un livre pour cinéphiles mais un véritable roman avec des personnages attachants et des retournements de situation inattendus. Qu'on peut lire aussi, d'ailleurs, comme une sorte d'autobiographie de Chantal Pelletier, qui mêle avec bonheur dans cette histoire d'amitié entre ces trois femmes ses propres expériences... avec celles de tous ceux qui avaient vingt ans dans les années 1960 et ont vécu toutes les transformations de la vie en société et des moeurs jusqu'à aujourd'hui...
La Revue pour l'intelligence du monde Renaud de Rochebrune
La croyance de ces trois jeunes filles en Jean-Luc Godard correspond à une époque importante pour l’émancipation de la femme, pour une libération de la parole, pour des prises de position politiques… Croire ? Vous dites « l’art ouvre les yeux que ferme la religion… »
RFI L'invité culture Catherine Fruchon-Toussaint Avril 2015
Une description émouvante du destin de quasi-septuagénaires engendrés par le baby-boom de l'après-guerre et des emprunts aux dialogues des films de Jean-Luc Godard avec une intelligence véritable qui n'oppose pas les films des années 1960 et ceux des premières années de ce 21ème siècle fut godardienne comme la première fut picassienne...
Art Press Dominique Païni Juillet aout 2015
Un roman hyper générationnel qui plaira surtout aux femmes qui ont grandi dans les années soixante.. Et aux cinéphiles, pas seulement ceux qui aiment Godard !
Le Progrès Françoise Monnet Février 2015
France CULTURE Les bonnes feuilles Sandrine Treiner Mai 2015
France CULTURE Le temps des écrivains Christophe Ono-Dit-Biot Mai 2015
Vidéo présentation "Et elles croyaient en JLG" librairie Mollat à Bordeaux
TSF Jazz "Un regard féminin sur JLG"