NOS DERNIERS FESTINS de Chantal Pelletier, Série noire Gallimard REVUE DE PRESSE (Cliquer sur les titres pour lire l'article complet) |
« Une dystopie culinaire en forme de comédie, où le plat de résistance porte bien son nom… Un polar voluptueux et dense, ponctué de passages délicieusement cocasses, sur lequel planent avec bonheur l’esprit de Bukowski et la poésie de Brautigan, c’est aussi un roman d’anticipation en forme de farce burlesque et truculente, qui porte cette réflexion vitale : qu’est-ce qui est en passe de redéfinir nos « goûts » ? » Cédric Fabre. 28 mai 19
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« Il s'agit d'un roman picaresque, d'un roman pique-assiette, d'un roman... on disait gargantuesque ou pantagruélique avant, aujourd'hui on dirait pelletieresque, parce que là, elle a inventé quelque chose, c'est un roman plein d'odeurs... on en revient aux années 20 et 30 lorsque les Hammett et autres ont commencé, c'était ça l'idée, témoigner de son temps... alors que ces dernières années, c'est devenu une sorte de dérivé du cinéma, américain de préférence, sans grande consistance, sans grande vérité, ... alors que là on est assez proche de quelqu'un comme Prudon, sauf que Prudon était totalement noir c'est noir, Chantal Pelletier, c'est rouge, la viande, comme les lèvres…. ». Gérard Guégan. 16 mai 19
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« ... des personnages très attachants et une intrigue qui réserve bien des surprises et aborde d’autres sujets graves comme le sort des migrants fuyant la Syrie ou la spéculation immobilière qui n’est pas près de disparaître dans le Midi comme ailleurs… Chantal Pelletier, c’est un ton, un style, un univers, qu’on retrouve avec bonheur de livre en livre, une littérature aussi gourmande que la gastronomie qu’elle défend et aussi salutaire que les lanceurs d’alertes pointant du doigt les dérives sociétales... ». Serge Cabrol. 3 juin 19
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« Un livre qui aborde l’air de rien de manière assez poussée la question d’un contrôle permanent d’un État qui a totalement cessé de faire semblant de s’intéresser au bien-être de ses citoyens pour révéler ce qui lui importe vraiment : moins de dépenses sociales, plus de productivité.... Une manière de voir les choses qui dépasse l’hygiénisme pour incarner une nouvelle forme de contrôle social. Surtout, Chantal Pelletier raconte tout cela avec humour mais aussi avec une façon très charnelle de parler de cuisine et d’aliments... ». Serge A. Storms. 13 mai 19
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« … original, plein de saveurs et d’évocations culinaires…Polar d’anticipation, « Nos derniers festins» surfe sur l’individualisme ambiant, les différentes propositions pour sauver la planète, et la récolte (et l’exploitation) des données personnelles. C’est dire si ça tient la route. Et Chantal Pelletier de nous prévenir des dangers qui pèsent sur notre liberté individuelle... ». Barbara Mazuin. 26 mai 19
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« Ah quel bon moment on passe en lisant Nos derniers festins !… polar succulent, dégoulinant de saveurs, allumeur de papilles, gourmand jusqu’à la démesure… regard profond sur notre monde. On y voit les guerres que se livrent végans et omnivores et tant d’autres qui veulent imposer leur mode de vie. Sus aux intégristes des fourchettes et couteaux intolérants qui ont oublié le plaisir d’un bon plat….Trop bon ces pages… On en redemande ! ». Lili Fischer. 3 mai 19
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Festin de choix ! La Provence, Midi Libre et Vaucluse Matin qui reprend le texte de Michèle Gazier : « C’est avec un art consommé que Chantal Pelletier cuisine tous ces mondes dans une langue ronde et succulente qu’elle pimente d’une pointe de nostalgie cinématographique, d’une pincée de souvenirs politiques, d’un beau brin d’humour, de quelques grains d’acidité astringente, d’une bonne mesure de féminisme et d’une larme de poésie. Le plat est savoureux, surprenant, tendre et fort à la fois ». Mai/Juin 19
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« ... l’humour et la gouaille de l’auteur font que l’on sourit autant que l’on grince des dents, et elle profite sournoisement de ces luttes pour nous mettre l’eau à la bouche avec quelques descriptions de plats irrésistibles. Avec un final en forme d’appel à profiter de la vie, et des premières pêches de la saison. A déguster sans modération, et merde à notre permis santé ». Jean-Marc Laherrère. 21 juin 19
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Pour l'été, des polars à dévorer :
« ... un roman noir succulent... un humour cinglant... des scènes virulentes démontrant combien les intégrismes actuels peuvent conduire à une forme de dictature. La réussite du livre tient aussi au double portrait de femmes (une cuisinière et une contrôleuse alimentaire) que dresse avec acuité et sensibilité Chantal Pelletier. ». J.-M. L. S. 1 2 août 19 |
« L'auteure s'amuse (et nous amuse donc) mais elle nous incite aussi à réfléchir un peu, à notre monde où l'état de plus en plus totalitaire vaudrait (pour notre bien) contrôler la moindre de nos actions. A déguster donc sans aucune modération, tant que l'on peut encore ! ». Albert Mentino. 12 juillet 19
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« Bon appétit Mesdames et Messieurs. Pour le menu, prenez un zeste d’art de la table (la bonne table), un peu et même plus d’enquêtes dans un monde futuriste, comme ingrédients une grosse pincée d’humour et pour rehausser tout cela des personnages aux petits oignons ! … univers connecté, sorte de « 1984 » en plus épicé ». Yvon Eireann. 20 juin 19
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INTERVIEWS :
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CERCLE POLAR - « Très drôle, très bien écrit... Un livre beaucoup plus profond qu'il n'en a l'air... plaisir de lecture... livre brillant... un sens de la réplique et des dialogues bien poivrés... Comment on sacrifie notre liberté à des sociétés de contrôle... ». Christine Ferniot et Michel Abescat. 1er juin 19
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