Association C'est-à-dire
C’EST-À-DIRE, association pour la livraison de livres à haute voix, a été créée en mars 2005.
Son but était de faire entendre de l’écrit, les mots, la phrase, le rythme, le style, la langue.
Dire les textes au cours de rencontres festives, et, plus particulièrement, dire les textes des auteurs contemporains vivants. Créer des moments chaleureux, amicaux, autour des textes, inventer des refuges où le texte est célébré, mis en lumière, hors contexte médiatique. Dire les livres, sans se soucier qu’ils se vendent, plaisent au plus grand nombre, comment, pourquoi.
Se constituer un « espace » privilégié où les règles économiques éditoriales sont oubliées. S’octroyer ce privilège-là!
Découvrir des lieux originaux, conviviaux, différents.
Trouver de multiples formes de soirées, repas, après-midi, dimanches, week-ends, en Province ou à Paris, en France ou à l’étranger, dans un village ou en banlieue, en appliquant un principe simple : pas de parlote, seul l’écrit est à dire.
Une des tâches des membres de l’association était de rechercher assidûment des endroits où la rencontre pouvait renouer, sous une forme contemporaine, avec une atmosphère de « salon » littéraire, de banquet, thé, soirée, apéritif, bal, pique-nique... Que le verre de vin ne soit jamais loin, conversations et échanges informels succédant aux lectures, mais surtout pas de débats singeant les talk shows télévisés.
Les rencontres s’effectuaient autour d’un auteur, d’un éditeur, d’un thème, d’une question, d’un genre littéraire, d’une langue, d’un pays, d’un décor, dans des lieux chaleureux, privés ou pas, recensés ou à découvrir, permettant éventuellement, selon le cas, la participation d’autres artistes (peintres, plasticiens, danseurs, chanteurs, musiciens, comédiens...). Les lecteurs, plutôt que des professionnels de l’art dramatique, ont été tout simplement des amoureux du verbe.
L'association a édité plusieurs livres objets.
Son but était de faire entendre de l’écrit, les mots, la phrase, le rythme, le style, la langue.
Dire les textes au cours de rencontres festives, et, plus particulièrement, dire les textes des auteurs contemporains vivants. Créer des moments chaleureux, amicaux, autour des textes, inventer des refuges où le texte est célébré, mis en lumière, hors contexte médiatique. Dire les livres, sans se soucier qu’ils se vendent, plaisent au plus grand nombre, comment, pourquoi.
Se constituer un « espace » privilégié où les règles économiques éditoriales sont oubliées. S’octroyer ce privilège-là!
Découvrir des lieux originaux, conviviaux, différents.
Trouver de multiples formes de soirées, repas, après-midi, dimanches, week-ends, en Province ou à Paris, en France ou à l’étranger, dans un village ou en banlieue, en appliquant un principe simple : pas de parlote, seul l’écrit est à dire.
Une des tâches des membres de l’association était de rechercher assidûment des endroits où la rencontre pouvait renouer, sous une forme contemporaine, avec une atmosphère de « salon » littéraire, de banquet, thé, soirée, apéritif, bal, pique-nique... Que le verre de vin ne soit jamais loin, conversations et échanges informels succédant aux lectures, mais surtout pas de débats singeant les talk shows télévisés.
Les rencontres s’effectuaient autour d’un auteur, d’un éditeur, d’un thème, d’une question, d’un genre littéraire, d’une langue, d’un pays, d’un décor, dans des lieux chaleureux, privés ou pas, recensés ou à découvrir, permettant éventuellement, selon le cas, la participation d’autres artistes (peintres, plasticiens, danseurs, chanteurs, musiciens, comédiens...). Les lecteurs, plutôt que des professionnels de l’art dramatique, ont été tout simplement des amoureux du verbe.
L'association a édité plusieurs livres objets.